Que peut signifier pour les Églises séparées de se référer à un passé commun – Wolfhart PANNENBERG

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Que peut signifier pour les Églises séparées de se référer à un passé commun ?

Chaque Église chrétienne se tourne vers l’Église primitive, la référence rétrospective à l’origine apostolique et à l’Église ancienne rendant perceptibles les oppositions entre les Églises actuelles. À partir de ce postulat, Wolfhart Pannenberg répond à la question suivante : pourquoi se référer à un même passé peut signifier en fait pour elles bâtir un avenir commun ?

Wolfhart Pannenberg (1928-2014) est un théologien luthérien allemand, écrivain, professeur d’université (Mayence et Munich).

Publié dans la revue Istina, 1974/1. Pour acquérir ce fascicule, cliquer ici.

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Description

Extraits de l’article :

Les efforts déployés en faveur de l’unité des Églises ne peuvent se limiter à notre époque actuelle. La tâche de comprendre les Églises actuellement séparées exige aussi bien la compréhension des tâches du futur que celle de l’histoire des scissions qui est à l’arrière-plan de la division ecclésiale actuelle de la chrétienté.

[…]

Les choses ne peuvent alors se présenter sous un autre aspect que si le passé commun des Églises séparées est en même temps leur futur. Cela ne vaut ni pour l’âge apostolique, ni pour l’Église des premiers conciles œcuméniques. Mais c’est le cas dans la personne de Jésus de Nazareth, qui n’est pas seulement le point de départ de toutes les formes historiques de la foi chrétienne, mais aussi le Seigneur qui vient, vers le futur duquel se tourne l’espérance des chrétiens.

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