Le pèlerinage vers une vision commune de l’Église – Ellen K. WONDRA

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Article publié dans la revue Istina, 2021/3.
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Description

Résumé : Après avoir rappelé le processus d’élaboration du document L’Église. Vers une vision commune, l’auteure explique comment la commission a étudié les réponses, puis présente le contenu du rapport de synthèse Que disent les Églises de l’Église ? et expose les problèmes récurrents de méthodologie auxquels elle a dû faire face.

Abstract : After recalling the process by which the document The Church : Towards a Common Vision, the author explains how the Commission studied the responses and then presents the contents of the synthesis report What are the churches saying about the Church ?, and she exposes the recurrent issues of methodology it had to face.

Auteure : Ellen K. Wondra est prêtre à l’Église épiscopale (États-Unis) ; professeure de recherche émérite de théologie et d’éthique à la Bexley Seabury Seminary Federation, Chicago, Illinois et rédactrice émérite de l’Anglican Theological Review. Elle est actuellement membre de la Commission Foi et Constitution du COÉ, après avoir été membre de la Consultation anglicane – catholique romaine aux États-Unis [ARCUSA] et de la Commission permanente pour les relations œcuméniques et interreligieuses de l’Église épiscopale.

Extrait de l’article : Considérés ensemble, les réponses, les documents thématiques et le rapport indiquent que L’Église. Vers une vision commune a effectivement identifié et exprimé de nombreux domaines de convergence entre les Églises. Dans l’ensemble, les réponses à ce document sont positives et apprécient le travail sur l’ecclésiologie effectué jusqu’à présent. Dans la plupart des cas, la critique de L’Église. Vers une vision commune est proposée dans le cadre ecclésiologique général développé depuis le BEM. Il s’agit d’une étape significative, étant donné l’importance de la compréhension mutuelle et de l’apprentissage sur la nature et la mission de l’Église en tant que clé pour poursuivre le travail sur les questions qui demeurent. C’est aussi un signe d’espérance dans le pèlerinage vers une vision commune de l’Église.

Certains domaines de travail ultérieurs sont clairs : élargir la table ; considérer la relation entre l’unité visible, la reconnaissance mutuelle et la communion ; ce que signifie être humain par rapport à Dieu ; le discernement moral ; la diversité légitime ; la théologie et la pratique de l’autorité. Il est clair que certains aspects de la vie et de la pratique chrétiennes ont besoin d’une attention plus grande et plus intégrale que celle qui leur a été accordée : l’expérience, la mission, la spiritualité et l’adoration. La méthodologie de Foi et Constitution doit changer pour accorder davantage d’attention à ces domaines et pour entendre plus aisément et plus clairement les Églises et les peuples qui furent longtemps et souvent marginalisés. « Élargir la table » doit devenir partie intégrante de Foi et Constitution, et non un projet spécial.

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