Sainteté et sanctification dans la perspective méthodiste – David M. CHAPMAN

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Article publié dans la revue Istina, 2022/4.
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Description

Résumé : En s’appuyant largement sur le document de dialogue The Call to Holiness (2016) et les sources méthodistes, l’auteur examine la sainteté et la sanctification dans une perspective méthodiste en considérant successivement : la nature de la grâce ; une vie sainte et la sanctification ; la communion des saints ; Marie, Mère du Seigneur ; la prière d’intercession. Envisageant enfin les perspectives d’avenir du dialogue avec les catholiques, il estime que son Église pourrait encore progresser dans la reconnaissance de la coopération avec l’œuvre de salut du Christ en Marie et qu’il est possible d’envisager la prière mutuelle par-delà la mort comme une expression pratique de la communion des saints.

Abstract : Drawing heavily on the document of dialogue The Call to Holiness (2016) and Methodist sources, the author examines holiness and sanctification from a Methodist perspective by considering successively the nature of grace, holy living and sanctification, the communion of saints, Mary, Mother of the Lord, and intercessory prayer. Finally considering the prospects for the future of dialogue with Catholics, he believes that his Church could make further progress in the recognition of cooperation with the work of salvation of Christ in Mary, and that it is possible to envisage mutual prayer beyond death as a practical expression of the communion of saints.

Auteur : Président du district du Bedfordshire, de l’Essex et du Hertfordshire de l’Église méthodiste de Grande-Bretagne. Ancien co-président du dialogue international catholique – méthodiste (2012-2022).

Extrait de l’article : Un christocentrisme inclusif peut encore reconnaître Marie, Mère du Seigneur, comme occupant une place particulière dans la communion des saints. Dans l’esprit de « l’œcuménisme réceptif », les méthodistes ont des raisons de se demander s’ils répondent suffisamment positivement à l’appel scripturaire pour que toutes les générations appellent Marie « bienheureuse » (Lc 1,48). Il existe une justification théologique suffisante dans la théologie méthodiste de la grâce et de la sainte-té pour la célébration et la vénération de Marie dans le culte collectif et la dévotion privée. Marie incarne la perfection chrétienne ou l’entière sanctification, et sa Dormition (pour les orthodoxes) ou son Assomption (pour les catholiques) peut être considérée comme l’accomplissement de son Magnificat, proclamant dans son humilité la grandeur du Dieu qui exalte les humbles. À juste titre, la fin de la vie de Marie sur terre peut être considérée comme le début de l’accomplissement de la promesse du Christ que là où il est maintenant, nous pouvons être aussi (Jn 14,3), et du don du Christ à ses disciples de la gloire qui lui a été donnée par le Père (Jn 17,22-24).

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