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Article publié dans la revue Istina, 2019/2.
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Résumé : Proposant une synthèse des différentes interventions, l’A. souligne d’abord l’importance cruciale de la question des identités pour l’avenir de l’œcuménisme, dont la tâche doit consister à les façonner communément. Puis elle examine la question de la réception des dialogues, dont elle rappelle qu’elle suppose un changement et qu’elle comporte diverses dimensions où l’œcuménisme réceptif semble pouvoir s’appliquer. Enfin, elle s’interroge sur l’impact des évolutions dans le paysage religieux de la « modernité liquide », qui entravent ou ralentissent tout processus de réception.
Abstract : Offering a synthesis of the various contributions, the author emphasizes, first of all, the crucial importance of identities for ecumenism, whose task should be to forge unity from their diversity. Then she examines the question of the acceptance of the dialogical process which, she reminds us, requires adaptation and comprises several dimensions where receptive ecumenism seems applicable. Finally, she ponders the impact of evolutions within the religious landscape – the « fluid modernity » which undercut or slows the entire process of reception.
Auteur : Université de Leuven.
Extrait de l’article : Sommairement, on peut dire que l’identité est étroitement liée au sentiment d’unité qui est constitutif de tout groupe humain et qu’elle répond à la question de savoir qui l’on est en distinguant bien entre ceux qui appartiennent au groupe et ceux qui lui sont étrangers. D’ailleurs, même dans l’herméneutique des dogmes […], on ne saurait oublier leur fonction d’exclusion sociale. C’est ainsi qu’au cours des XVIe et XVIIe siècles différents marqueurs d’identité ont été élaborés pour affermir les frontières confessionnelles. Ces marqueurs ont aussi servi à resserrer les liens au sein des groupes et à développer des identités ecclésiales distinctes. Ils marquent un « point de non-retour », entraînant la fin de l’unité de l’Église en Occident – du moins en ce qui concerne les identités communautaires des adeptes de la « vieille foi » et de la « nouvelle foi ».
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